L’hypnose ericksonienne thérapeutique et médicale c’est quoi ?

« L’hypnose est un mode de fonctionnement psychologique dans lequel un sujet, grâce à l’intervention d’une autre personne, parvient à faire abstraction de la réalité environnante tout en restant en relation avec son accompagnateur ».

Dr Jean GODIN

Ma vision de thérapeute et praticienne en hypnose érycksonienne :

Il m’est essentiel, en tant que praticienne, de savoir répondre au cadre strict de ma pratique, de connaitre ma réalité objective de thérapeute et de rester dans mes champs d’action.
Chaque séance se veut en adéquation réelle avec la demande du patient et ma posture.
L’hypnose est un outil au service de ma pratique psychocorporelle en tant que sophrologue et praticienne en psychologie positive. Elle vient agrémenter mon regard et ma posture afin d’être pleinement présente aux besoins exprimés.

Je vous laisse vous imprégner de ces quelques mots et reste à votre écoute

Je suis formée à l’hypnose Ericksonienne à l’institut IMHETO à Toulouse (Institut Milton H Erickson) ; institut reconnu et certifié par la Fondation Erickson depuis février 2016.

Cette formation solide et uniquement encadrée par des professionnels de santé, me permet d’utiliser l’hypnose dans les limites de mon métier en conservant un cadre sécurisant autant pour le patient que pour moi praticienne.
Mon regard de sophrologue associé à ma formation première (formation paramédicale) m’ont incitée à prolonger mes connaissances et ainsi m’ouvrir à l’hypnose.

La douleur, l’anxiété, le manque de confiance en soi… autant de champs où sophrologie et hypnose peuvent se compléter et permettre une réponse respectueuse du besoin exprimé.
Effectivement l’hypnose médicale et thérapeutique permet de répondre à de nombreuses pathologies d’ordre somatique ou psychologique, son champ d’application est très vaste.

Depuis 20 ans les progrès de l’imagerie cérébrale n’ont cessé de prouver que sous hypnose, certaines aires cérébrales réagissaient comme en situation réelle. L’état hypnotique est d’ailleurs un fonctionnement naturel qui est induit et amplifié par l’accompagnement du praticien autorisant ainsi le patient à lâcher-prise afin de retrouver une certaine sensorialité et élargir son champ de conscience. Le patient conserve ainsi intégralement sa capacité à réagir et à stopper la séance s’il ne se sent plus dans un confort sécuritaire.

Milton Erickson, le père fondateur de l’hypnose éricksonienne, donne l’impulsion à une nouvelle forme de relation entre l’hypnothérapeute et son patient. Effectivement à l’instar de «l’alliance» (relation de confiance entre le
sophrologue et son patient) en sophrologie, on peut définir l’hypnothérapeute comme un catalyseur, un « compagnon » de route qui guiderait le patient vers ses ressources intérieures, sa mémoire consciente et inconsciente, ses facultés inexploitées d’apprentissage. Il s’agit là d’une relation intersubjective qui échappe nécessairement aux mesures objectivantes des sciences «dures».

Le type de communication qui s’instaure comme le définition implicite de la relation qui s’en dégage, constituent des données importantes du déroulé de la séance.
Source : « Soigner par l’hypnose » de Gérard Salem et Eric Bonvin.

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